mardi, novembre 07, 2006

Laissez-moi maintenant, m'excuser pour le nombre démentiel de fautes. Je dois avouer que lorsque j'ai du plaisir à écrire je me fous royalement de la synthaxe et tout. Mais bon, je fais la promesse de faire attention à l'avenir.
J'ai beaucoup de difficulté à cacher mon enthousiasme face à cette correspondance entre les gens de la classe. L'initiative de ce blogue est géniale!
J'ai pensé copier coller des textes de mon autre blog mais bof. j'aime mieux vous refiler l'addresse:
http://simonpelletier144.spaces.live.com/ il se nomme le parloir des sans voix (bruit-mystique-rempli-de-mystiques-mystères)
addez-moi, écrivez moi:
simonpelletier144@hotmail.com

Maintenant, je vais laisser quelques mots... Un peu sur Johnny Starh et beaucoup sur l'inspiration du moment:


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Johnny Starh, loin de tout. Il arpente les bars tel un pirate, question de piller quelques instants minables de pureté. Vous savez, lorsque la «vibe» du moment atteint un espèce de niveau universelle qui ferait même cesser les plus grandes guerres?
Johnny est instable
Johnny est chaos.
Johnny brule.
Et dans le silence, couché sur le planché. Il pense en ce moment à cette été magique. Où elle est venu s'assoir sur ce banc de parc à côté du mec défoncé qu'il était. Elle n'avait rien dit, mais écouta l'histoire d'un gars qui en avait assez de poinsonner une carte matin et crépuscule. Elle écouta et fit répéter les moments où il décrivait l'effet que la troisième accord de ce couplet lui faisait. Elle l'écouta parler du Dôme et de la chambre du défunt leloup. Puis 8heures plus tards, ils décidaient de partir le lendemain pour l'ouest canadien. Beaucoup de nauffragés échouaient dans cette vallé désertique où le rêve hippi renait chaque année. La liberté des cerisiers leur donnait espoir. La liberté des cerisiers n'était que la seul solution en fait. Chacun de nous le sait bien... Montréal l'été est ... cruel. Johnny le savait bien...
Ils s'aimèrent le temps d'une paix, le temps d'une valse sous les cerisiers et la voie lacté.
et Johnny lui le temps d'une paix, sourit.
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johnny est née dans l'enchainement d'accords fort simple, teinté une vibe post-rock. il m'apparut comme on voit arriver un trashy hero: dans une cinématique sans mots inutile. fermez les yeux et voyez:
un rockeur épuisé, marchant d'un air martial dans un couloir blanc. mais cet air martiel se résume par le balancement exagéré de ses bras de gauche a droite. il boitte d'une jambe. il semble revenir de loin johnny. une contre-plongée nous le fait voir regarder au loin. il maudit les putains d'Existencialistes. il pleure avec orgueil.
la guerre, le mirage post-apocalyptique n'est pas loin. johnny marche sans comprendre la fin. les forets renaitront. l'humanité s'est finalement achevé. on va pouvoir le construire ce criss d'idéal, avec ceux qui restent.. johnny a tué. puis il y a eut le chaos.. les gens, sont ensuite morts.. sa fuite.. et maintenant il marche dans ce putain de couloir blanc.
(la suite quand il y aura d'autres images...)
sur ce jvous souhaite bonne nuit
jvous aime
sym

3 Comments:

Blogger Didier C. said...

Take the money and go Johnny go!

J'aime bien Johnny, bohème, rockeur, vagabond.

Je crois qu'il manque peut-être un peu de profondeur par contre, du moins quelque chose qui le différencierait des autres personnages de ce type, car Dieu sait qu'il y en a.

1:57 a.m.  
Blogger Lumilla Farès said...

oui t'a bien raison didier, ce personnage manque de profondeur.

Bien sur, je n'ais écris qu'une bride (stu le bon mot?tk) du dude, je commencerai pas à toute marquer mes affaires sur internet :P perso je publie sur le net que des trucs funky ou que je n'ais pas l'intention de futurement publier.

Bref, j'avais penser peut-être, faire un trashy hero avec johnny, mais si je ne veux pas tomber dans les stérotypes... sa va etre toff je l'avoue. je voulais en faire un trashy-intello qui envoie chier l'intellectualité, MAIS qui AGIT avec intelligence et philosophie. Ce film, dans lequel il sera, sera abstrait un ti peu, comique un ti peu.... tk on s'en parle de vive voix si tu veux!!

sym

8:20 a.m.  
Blogger Lumilla Farès said...

Je crois plus que je vais miser sur ses actions que son attitude. Il est un peu shizo ... à certain moment il peut argumenter aussi bien qu'un géni musical et/ou littéraire tandis que à d'autres moments, il sacre et est vulgaire.

Même s'il déteste les existencialistes, Johnny prône l'action. J'en suis rendu pas mal ici dans ma construction de personnage..

12:50 p.m.  

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